Scoop : je suis pour Bové !

Ma vie en Narcisse: Scoop : je suis de gauche !

Jeu à la con que j'ai choppé sur le site ci dessus...

Voilà, on y apprend que je ne supporte pas Sarko et que je suis "de gauche"... enfin d'autres diraient un taré de conspirationiste :D

Mais instinctivement j'aurais pas mis Ségo très loin de Sarko... elle a failli apparaitre du côté positif quand même ... ouf.

La fabrique de l'opinion


Le livre, et la vidéo de Chomsky, titre original "manufacturing consent", sont des documents précieux dans ce qu'on appelle la critique des médias, celle qui énerve tout particulièrement ... les médias.

Aujourd'hui, c'est plus que jamais d'actualité, parce que nous vivons une période électorale, et que d'après certains, nous sommes depuis longtemps dans une société d'opinion, de sondages et de marketing...

Cet article montre plutôt bien la façon dont nos médias montrent ce qu'ils veulent montrer et la façon dont ils nous le font avaler : Hélas, gouverner, c’est de moins en moins prévoir et de plus en plus faire croire et se montrer.
Petit exemple de ce que peut donner ce cirque médiatique : Acrimed se propose de critiquer l'émission de Scheidermann (comme beaucoup d'autres), ce qui produit une réaction instinctive, de la part de celui qui n'est pas le dernier à servir la soupe aux faiseurs d'opinion.

Aujourd'hui, période électorale donc, il faut un peu remuer la campagne, si l'info ne vient pas aux journalistes, si les politiques ne font rien d'intéressant, il faut fabriquer... le cercle vicieux AFP-presse-télé fera le reste. On entend donc depuis 2 jours ces réactions au sujet de la gare du Nord, il faut vous positionner, vous serez pour l'ordre ou pour les casseurs, et même si vous êtes de gauche, le bilan sera le même, seul le constat diffère au sujet des résultats de la politique de Sarko, pour le reste, l'ordre juste prime, et on va pouvoir alimenter les rotatives avec autant de déclarations à la con, un peu de De Villiers, de Ségo, de rien en somme. Le fait divers continue à faire diversion, et l'info qui n'en est pas est ainsi sa propre génitrice.

  • Bon, le petit article du réseau Voltaire est quand même intéressant à ce sujet.
  • Maitre Eolas en parle également, en particulier de la sémantique utilisée par Baroin, là encore, aucun média n'est capable de l'ouvrir pour mesurer ces paroles... cet avocat fait le boulot des journalistes, il remet les choses à leur place.
  • Encore un très bon article à ce sujet sur infochalov, un pti blog plein de bonnes choses !

11 septembre entre doutes et accusations


Je recopie ici un article bien construit, publié sur agoravox, l'auteur Taïké Eilée. certains liens risquent d'être rompus.

Des experts face au 11 septembre : entre doutes et accusations


Les remises en question de l’histoire officielle du 11 septembre sont, pense-t-on parfois, le fait exclusif d’internautes désoeuvrés et sans aucune crédibilité. En réalité, elles sont aussi largement portées par des experts. Ces prises de position éclairées ne devraient laisser personne indifférent.

Un site Internet, Patriots Question 9/11, recense les contestations de plus de 90 personnalités, officiers supérieurs de l’armée des Etats-Unis, agents du renseignement, hommes politiques américains et du monde entier, et même, membres de la Commission d’enquête sur le 11 septembre. Sans oublier celles de près de 120 professeurs d’université, philosophes, historiens, politologues, juristes, économistes, mathématiciens, physiciens, chimistes, ingénieurs, etc. Autant de personnalités qui peuvent se prévaloir d’un statut, d’une autorité, et dont les mots pèsent du lourd poids de leur expertise reconnue. Etat des lieux - non exhaustif - de ces contestations « autorisées ».



Mensonges et omissions face à la Commission



Thomas Kean et Lee Hamilton sont, respectivement, les président et vice-président de la commission qui a enquêté sur les attentats du 11 septembre 2001. Cette commission a rendu un rapport le 22 juillet 2004, qui fixe ce qu’il convient d’appeler l’histoire officielle du 11 septembre. En août 2006, les deux hommes sortent un livre, Without Precedent : The Inside Story of the 9/11 Commission, qui raconte les coulisses de l’enquête. On y apprend, avec stupéfaction, que tous les témoignages apportés par les agents de la FAA [Federal Aviation Administration] et du NORAD [North American Aerospace Command], au sujet de la non-intervention des chasseurs durant l’attaque, se sont avérés faux : « All of the after-action reports, accident investigations and public testimony by FAA and NORAD officials advanced an account of 9/11 that was untrue » (Washington Post du 4 août 2006).

Il semble même que l’on puisse parler de tromperie délibérée de la part du Pentagone, selon le Washington Post du 2 août 2006 : « The Pentagon’s initial story of how it reacted to the 2001 terrorist attacks may have been part of a deliberate effort to mislead the commission and the public [...]. "We, to this day, don’t know why NORAD told us what they told us", said Thomas H. Kean [...]. "It was just so far from the truth." » Tromperie qui avait déjà été dénoncée durant une audience du Congrès, le 31 juillet 2004, par le sénateur Mark Dayton.



Un fâcheux oubli


En septembre 2006, le journaliste Bob Woodward révèle que, le 10 juillet 2001, le directeur de la CIA de l’époque, George Tenet, accompagné de son directeur du contre-terrorisme, Cofer Black, a rendu visite à la secrétaire d’Etat Condoleezza Rice à la Maison Blanche, pour l’informer d’une attaque d’Al-Qaida imminente. Rice aurait, semble-t-il, négligé l’alerte de ses visiteurs. Les trois personnages, interrogés par la Commission, à la fois en privé et en public, et tenus de dire la vérité, ont "oublié" de parler de cette rencontre, qui aurait suscitée, si elle avait été connue, de très nombreuses questions de la part des enquêteurs.

Peter Rundlet, conseiller pour la Commission, dénonce avec colère, le 30 septembre 2006, cette dissimulation et s’interroge gravement sur ce silence : « Was it covered up ? [...] At a minimum, the withholding of information about this meeting is an outrage. Very possibly, someone committed a crime. And worst of all, they failed to stop the plot. » Un membre de la Commission, Timothy Roemer, se dit, quant à lui, profondément perturbé et même furieux de cette omission (New York Times du 1er octobre 2006).



Rendez-vous dans un siècle


Dans une interview à CBC News le 21 août 2006, Lee Hamilton déplore les très mauvaises conditions dans lesquelles l’enquête a dû être menée : démarrage tardif, manque de temps et de moyens, résistance de certains, difficulté à accéder aux documents et aux gens... La Commission, confrontée à tant d’obstacles, était, selon lui, vouée à l’échec. Un échec programmé.

Hamilton reconnaît que la Commission n’est pas parvenue à établir toute la vérité, et prédit que l’on enquêtera sur le 11 septembre durant encore un siècle : « People will be investigating 9/11 for the next hundred years in this country, and they’re going to find out some things that we missed here. »

Les membres de la Commission eux-mêmes reconnaissent qu’ils ont été trompés, qu’on leur a menti ou qu’on ne leur a pas tout dit, que leur travail est donc incomplet et défaillant. D’autres avis, extérieurs à la Commission, vont dans le même sens. Ainsi, Paul Hellyer, ancien ministre canadien de la Défense nationale, regrette la superficialité de l’enquête et son manque de transparence. Raymond McGovern, ancien analyste de la CIA durant 27 ans, estime qu’il y a bel et bien eu dissimulation, et que le rapport de la Commission n’est rien moins qu’une "blague".



Une histoire officielle "impossible"


L’histoire officielle semble bien ne pas pouvoir tenir la route, si l’on se fie aux doutes émis par le colonel Ronald Ray, ancien adjoint du secrétaire à la Défense sous Ronald Reagan : "I’m astounded that the conspiracy theory advanced by the administration could in fact be true and the evidence does not seem to suggest that’s accurate." Catherine Austin Fitts, assistante du secrétaire au Logement de la première administration Bush, n’hésite pas à dire (dans cette interview du 9 septembre 2004, à la 52e minute) : "The official story could not possibly have happened.[...] It’s not possible."

Le lieutenant-colonel Robert Bowman, retraité de l’US Air Force, prend encore moins de réserves, assimilant l’histoire officielle à un "tas de sottises". Jugement similaire chez le capitaine Gregory Zeigler, ancien agent du renseignement dans l’US Army. Quant à Philip Berg, ancien procureur général adjoint de Pennsylvanie, il parle sans détours de "mensonge". Giulietto Chiesa, membre italien du Parlement européen, affirme enfin sans ambages, le 18 novembre 2005, que l’histoire qu’on veut nous imposer est complètement fausse.

Penchons-nous à présent sur des éléments plus concrets, sur des remises en question plus ciblées de l’histoire officielle du 11 septembre. Commençons par l’effondrement des tours.



Des tours dynamitées ?


Beaucoup ont déjà entendu parler de l’opinion émise par Danny Jowenko, ce spécialiste néerlandais de la démolition contrôlée. Lorsqu’une équipe de télévision vint le voir pour lui faire visionner la chute de la tour 7 du World Trade Center, dont il n’avait d’ailleurs jamais entendu parler (le rapport de la Commission n’en faisant lui-même pas mention), son jugement fut sans appel : c’était pour lui une démolition contrôlée. Nul doute dans son esprit (voir cette vidéo : version courte sous-titrée en français, ou version longue sous-titrée en anglais).

D’autres personnalités ont rejoint cet avis, pour parfois l’étendre aux deux autres tours, aux Twin Towers. Ainsi, Paul Craig Roberts, secrétaire adjoint au Trésor dans l’administration Reagan, déclare avec assurance, le 16 août 2006, qu’il n’est pas pensable qu’un immeuble, en particulier s’il est doté de colonnes en acier, s’effondre à la vitesse de la chute libre... de manière tout à fait naturelle. Pour le lieutenant-colonel Karen Kwiatkowski, qui a travaillé auprès du directeur de la NSA [National Security Agency] et dans l’Air Force durant 20 ans, l’effondrement des tours du WTC viole, ni plus ni moins, les lois de la probabilité et de la physique.

David Griscom, chercheur en physique et membre de la Société de Physique américaine, salue, quant à lui, le travail de David Ray Griffin, l’un des leaders du mouvement Scholars for 9/11 Truth, qui affirme que des explosifs ont été utilisés pour abattre les trois tours du WTC. Même conviction chez William Christison, ancien officier du renseignement national, membre de la CIA durant 28 ans, où il a notamment dirigé le Bureau de l’Analyse régionale et politique. Robert David Steele, officier du renseignement durant 20 ans, notamment à la CIA, se focalise sur le WTC 7 et affirme, de manière tout à fait catégorique, le 27 octobre 2006 : "I’m absolutely certain that WTC 7 was brought down by controlled demolition."



Un Boeing dans le Pentagone ?


Plus surprenantes peuvent paraître les mises en doute sur ce qui s’est passé au Pentagone. Même si aucun film n’a jamais été diffusé par les autorités américaines, qui prouve le crash d’un Boeing, des témoins existent, qui ont décrit l’arrivée et le crash d’un gros avion de ligne. Ceci n’empêche pas le colonel George Nelson, retraité de l’US Air Force, où il a travaillé durant 34 ans, notamment en tant qu’enquêteur sur les accidents d’avions, d’afficher de très sérieux doutes : "Any unbiased rational investigator could only conclude that a Boeing 757 did not fly into the Pentagon as alleged." Le commandant Douglas Rokke, retraité de l’US Army, va plus loin ; il est convaincu que c’est un missile qui a frappé le Pentagone, arguant de la petite taille du trou fait dans le bâtiment et de la nature des dégâts causés.

Le capitaine Russ Wittenberg, ancien pilote de chasse de l’US Air Force, et pilote de ligne durant 35 ans pour Pan Am et United Airlines, est tout aussi catégorique. Il est, selon lui, impossible qu’un Boeing ait pu effectuer une trajectoire aussi complexe et précise que celle réalisée par l’engin qui a frappé le Pentagone : "There was absolutely no possibility that Flight 77 could have "descended 7,000 feet in two minutes, all the while performing a steep 270 degree banked turn before crashing into the Pentagon’s first floor wall without touching the lawn." Sans toucher la pelouse... Wittenberg ne croit pas qu’un pilote puisse prendre subitement les commandes d’un avion aussi difficile à contrôler pour le manier avec un telle aisance (comme un as du vol qu’Hani Hanjour, le pilote présumé, n’était d’ailleurs pas) : "There is not one chance in a thousand". Invoquant le fait qu’on n’a pas retrouvé les restes de l’énorme Boeing 757 au Pentagone, il conclut que la cause des dégâts est probablement un missile.

Barbara Honegger, journaliste spécialisée dans les affaires militaires, évoque, dans un essai publié le 6 septembre 2006, l’utilisation d’un avion militaire, seul capable de déjouer le système de défense du Pentagone, de neutraliser ses batteries de missiles antiaériens, en émettant un signal "ami".



Dick Cheney... savait ? savait pas ?


Si c’est bien le vol 77 d’American Airlines qui a frappé le Pentagone, peut-on croire que les autorités américaines ont été surprises par son crash, ne l’ont pas vu venir ? Selon le rapport de la Commission, le gouvernement n’a pas eu connaissance de la position du vol 77 avant 9h32 (soit 5 minutes avant le crash). Or, le témoignage de Norm Mineta, secrétaire au Transport entre 2001 et 2006, vient contredire cette version. Mineta, devant la Commission, a affirmé s’être rendu à 9h20 à la Maison Blanche, au Centre Présidentiel des Opérations d’Urgence (PEOC), et y a vu, vers 9h25, le vice-président Dick Cheney en discussion avec un assistant, qui venait régulièrement l’informer de la progression du vol 77 (de la distance qui le séparait encore du Pentagone ?) : "There was a young man who had come in and said to the vice president, "The plane is 50 miles out. The plane is 30 miles out." [...] "The plane is 10 miles out". On ne sait guère quand a commencé cet échange entre Cheney et son assistant. Quoi qu’il en soit, le vol 77 était repéré bien avant l’heure indiquée dans le rapport. Un rapport qui maintient, par ailleurs, que Dick Cheney n’est arrivé au PEOC qu’à 9h58 ! Un rapport qui, finalement, n’a pas intégré le témoignage, fort dérangeant, de Norm Mineta...

Après ces aspects "techniques" - chute des tours et crash sur le Pentagone -, il convient d’évoquer d’autres aspects fondamentaux de ces attentats, à commencer par leur financement.



Le scandale Mahmoud Ahmad & Omar Sheikh


La congressiste Cynthia McKinney a rappelé, le 18 août 2005, que nous ne savions toujours pas officiellement qui avait commis les attentats, ni qui les avait financés. Michael Meacher, ancien ministre britannique de l’Environnement, fait, lui aussi, remarquer (dans ce documentaire de la télévision néerlandaise, à 12min35) que l’enquête n’a pas su déterminer qui a financé les attentats, tout en prétendant - ce qui est ahurissant - que cela n’a, au fond, pas grande importance [voir le rapport de la Commission, page 172]... alors qu’il va de soi que c’est un point absolument capital !

Cynthia McKinney pose la bonne question : "What about the terrorist Omar Said Sheikh ?" Les services secrets indiens sont, en effet, à l’origine d’une révélation stupéfiante : le chef des services secrets pakistanais (ISI), Mahmoud Ahmad, a transféré, en juillet 2001, 100 000 dollars au chef présumé des pirates de l’air du 11 septembre, Mohammed Atta, par l’intermédiaire de Omar Sheikh. Information donnée le 9 octobre 2001 par le Times of India, puis par de nombreux médias occidentaux (AFP, Wall Street Journal, London Times...), confirmée par Dennis Lormel, le directeur de la section financière du FBI. Quelques jours avant le début de la guerre en Afghanistan le 7 octobre 2001, Ahmad a été poussé à la démission, sous la pression des Américains. Depuis, il n’a fait l’objet d’aucune enquête, ni d’aucune poursuite, de la part du Pakistan ou des Etats-Unis (sources).

Michael Meacher s’étonne de cette absence de poursuite judiciaire, dans le Guardian du 22 juillet 2004 : "When Ahmed was exposed by the Wall Street Journal as having sent the money to the hijackers, he was forced to "retire" by President Pervez Musharraf. Why hasn’t the US demanded that he be questioned and tried in court ?" Question lancinante, il est vrai, pour les esprits pas totalement endormis...

Le rapport de la Commission reste, quant à lui, parfaitement muet sur ces faits. Lors d’une conférence de presse à la Maison Blanche le 16 mai 2002, un journaliste indien interrogea Condoleezza Rice sur toute cette histoire ; la secrétaire d’Etat écarta la question d’un revers de main, prétendant qu’elle n’en avait jamais entendu parler... (voir 9/11 Press For Truth à 68min05sec, ou ici). L’Asia Times, dans un article du 8 avril 2004, nous donne peut-être la raison de ce mutisme : "If Mahmoud was really involved in September 11, this means the Pakistani ISI - "the state within the state" - knew all about it. And if the intelligence elite in Pakistan knew it, an intelligence elite in Saudi Arabia knew it, as well as an intelligence elite in the US." Le grand public a-t-il jamais entendu parler de Mahmoud Ahmad depuis cinq ans et demi ?



L’énorme affaire Able Danger


Autre scandale, dont les Français n’ont, dans leur très grande majorité, jamais entendu parler : le 19 juin 2005, un article du Times Herald révèle l’existence d’une unité de renseignement militaire du nom de "Able Danger", placée sous l’autorité du Commandement des Opérations Spéciales de l’armée des Etats-Unis (SOCOM), qui avait, selon toute vraisemblance, repéré quatre des futurs kamikazes plus d’un an et demi avant le 11 septembre ; il s’agissait de Mohammed Atta, Marwan Alshehhi, Khalid Almihdhar et Nawaf Alhazmi. Les quatre hommes avaient été identifiés comme des membres d’Al-Qaida oeuvrant aux Etats-Unis, dans la cellule dite "de Brooklyn". Or, à en croire le rapport de la Commission, Atta et Alshehhi étaient restés inconnus des services de renseignement jusqu’au jour des attentats.

L’affaire a été véritablement médiatisée grâce à l’intervention du représentant républicain du Congrès Curt Weldon, le 27 juin 2005, devant la Chambre des Représentants. L’homme tient ses informations du lieutenant-colonel Anthony Shaffer, qui prétend avoir été associé à Able Danger. Ses allégations ont été confirmées le 22 août 2005 par Scott Philpott, un capitaine de la Navy (voir The New York Times, ou Fox News) ; selon ce dernier, "Atta was identified by Able Danger by January-February of 2000". Le 27 août 2005, c’était au tour d’une troisième source, James Smith - qui prétend avoir travaillé sur l’aspect technique de l’opération Able Danger -, de confirmer cette incroyable histoire (Fox News). Suite à leurs découvertes, les membres de l’unité Able Danger avaient recommandé au SOCOM que le FBI soit chargé de démanteler la cellule de Mohammed Atta ; mais les avocats du SOCOM leur avaient rétorqué que ces informations ne pouvaient pas être partagées avec le FBI.

Dans un article du Wall Street Journal du 17 novembre 2005, Louis Freeh, directeur du FBI entre 1993 et 2001, considère que ces faits sont les plus importants révélés depuis la fin de l’enquête officielle. Selon lui, les découvertes réalisées par Able Danger auraient dû permettre l’arrestation des membres de la cellule de Mohammed Atta. La Commission, de son côté, osa affirmer, en août 2005, que l’opération Able Danger n’était, à ses yeux, "pas historiquement importante". Ce qui conduit Freeh à s’interroger avec gravité sur la négligence de la Commission, dont il va jusqu’à remettre en cause la crédibilité : "This astounding conclusion [...] raises serious challenges to the commission’s credibility and, if the facts prove out, might just render the commission historically insignificant itself."



"Laisser-faire" du gouvernement US ?


Tant d’anomalies dans l’enquête officielle font envisager à certains un "laisser-faire" des autorités américaines, qui avaient besoin de ces attentats pour justifier leur entrée en guerre au Moyen-Orient, leur implantation dans cette zone riche en pétrole, et, plus généralement, pour mettre en branle le plan du PNAC [Project for the New American Century], qui vise à assurer l’hégémonie mondiale des Etats-Unis au XXIe siècle.

Ainsi, pour Robert Bowman, "the very kindest thing we can say is that they were aware of impending attacks and let them happen". Pour Michael Meacher, "il est clair que les autorités américaines ont fait peu ou rien pour empêcher les événements du 11 septembre." Il rappelle qu’"au moins 11 pays ont averti à l’avance les Etats-Unis des attaques du 11 septembre." Pour John Loftus, ancien procureur fédéral américain et expert en terrorisme, la CIA et le FBI, avec la masse considérable d’informations dont ils disposaient, ne peuvent pas sérieusement se réfugier derrière leur prétendue incompétence pour rendre compte de leur défaillance.

Paul Craig Roberts affirme sans détours : "The 9/11 "terrorist attack" has been manipulated to serve a hegemonic agenda in the Middle East." Avis partagé par David Shayler, ancien officier du contre-terrorisme britannique (MI5), ainsi que par le lieutenant-colonel Stephen L. Butler, membre de l’US Air Force durant 24 ans : "Of course Bush knew about the impending attacks on America. He did nothing to warn the American people because he needed this war on terrorism" (New York Times du 4 juin 2002).



Complicités américaines ?



Certains envisagent même la complicité des autorités américaines avec Ben Laden. L’argument le plus volontiers mis en avant, c’est que Ben Laden n’aurait pas pu organiser - et surtout réussir - seul ces attentats. C’est l’opinion de Robert Baer, agent de la CIA durant 21 ans, spécialiste du Moyen-Orient, qui, dans une interview du 9 juin 2006, considère que l’idée d’un complot intérieur ("inside job") est tout à fait plausible. William Christison, membre de la CIA pendant 28 ans, se range aussi à cette idée.

D’autres voix, politiques, s’élèvent depuis cinq ans du monde entier, qui, sans accuser le gouvernement américain, refusent de penser que Ben Laden est le seul et même le principal responsable des attentats du 11 septembre. Mohamed Hassanein Heikal, ancien ministre des Affaires étrangères égyptien, affirmait ainsi le 10 octobre 2001, dans le Guardian, qu’Al-Qaida n’était pas en capacité de mettre en place une telle opération et de la garder secrète, rappelant que Ben Laden était sous surveillance depuis des années, et que son organisation était même infiltrée par les services secrets américains, pakistanais, saoudiens et égyptiens.

Andreas von Bülow, ancien secrétaire d’Etat (à la Défense) et ministre allemand, Horst Ehmke, ancien ministre de la Justice ouest-allemand, ou encore le général Leonid Ivashov, chef de cabinet des forces armées russes au moment des attentats, sont persuadés que des services secrets ont appuyé les opérations du 11 septembre. Quant à l’ancien Président de la République italienne, Francesco Cossiga, il soupçonnait, peu après les attentats, dans La Stampa, des complicités à l’intérieur du système de sécurité américain (page 36 de ce document).



Un fol espoir



Les témoignages recensés dans cet article ne constituent qu’une infime partie de tous ceux que regroupe le site Patriots Question 9/11. La liste des experts contestataires de l’histoire officielle du 11 septembre s’allonge régulièrement, elle est en expansion continue.

Rien ne prouve, à ce jour, un laisser-faire ou une complicité des autorités américaines. C’est entendu. Mais il est tout aussi entendu que la Commission n’a pas su atteindre son but. Son vice-président en personne nous promet même encore près d’un siècle de recherche avant d’aboutir - peut-être - à la vérité ! L’esprit critique quant à l’histoire officielle actuelle - reconnue non véridique par ceux-là mêmes qui l’ont faite, rappelons-le, rabâchons-le ! - est donc une attitude qui devrait être qualifiée de normale. Au lieu de cela, elle est jugée déviante, malsaine par la plupart de nos politiques et journalistes. Elle est diabolisée.

Une enquête réellement indépendante doit être ouverte, qui aura les moyens de ses ambitions. Sans doute les médias ont-ils un rôle à jouer pour faire pression sur les dirigeants de ce monde, qui auront à prendre cette lourde décision. Peut-être les citoyens doivent-ils alors commencer par faire pression sur les médias, en les sommant de retrouver leur vocation : la recherche de la vérité et sa diffusion. La passion des faits, rien que des faits.

Soirée SEMENCES libérées


Je vais assister à une projection-débat sur les semences. A priori on pourrait penser que pour un parisien, c'est pas forcément super intéressant - on était pas non plus des milliers à y assister - mais je commence à prendre gout aux soirées organisées par le Barbizon et consom' solidaire.

Il se trouve que, sujet pas particulièrement paysan, je me retrouve à discuter OGM avec des collègues en attendant le RER (ouais j'ai le genou en vrac, ce qui explique que je ne suis pas en vélo). J'exprime mes nombreuses réticences quand vient de la part d'une collègue des arguments traitant d'un sujet pour moi assez nouveau, à savoir les allergies au gluten. Les allergies au gluten se multiplient ces temps-ci et d'après elle, des labos planchent sur des blés OGM capables d'éliminer cette allergie. Ne connaissant pas le sujet, je me conente d'exprimer mes doutes quand au moyen employé, étant donné qu'à mon sens, la plupart des allergies sont bien souvent le résultat de notre propre activité et que comme le montre cette étude désormais un peu médiatisée, traiter un mal par un potentiel autre mal ne me semble pas à priori viable à long terme.

La réunion commence avec la projection du film "les blés d'or" publié par addocs. Je ne cache pas mon enthousiasme sur ce film, il est d'un simplicité rare, peu de commentaires, des gens proches de leur métier et de la terre, et quelques explications qui font échos aux propos échangés quelques minutes plus tôt dans ces boites en fer qu'on appelle èreuhère (je fais des rimes à mes heures perdues). Le fim, donc, aborde le sujet du gluten, molécule faisant partie intégrante des farines, et dont la proportion et la taille a augmenté de façon extraordinaire dans les farines modernes, et quelques recherches permettront de se faire une petite idée, qui va dans le sens de mes premières impressions. Dans le film, certains nous expliquent que ces allergies sont un danger comparable à la vache folle, une pensée me fait sourire "le pain fou"... mais je ressens encore une fois la pression sur l'opinion publique exprimée un peu plus tôt. Les problèmes que nous rencontront sont rarement abordées sous l'angle du pourquoi, mais souvent sous celui du "quel médicament va en venir à bout ?". Et si la science aujourd'hui subventionnée par le privée ne voulait pas forcément votre bien ? Si Monsanto n'avait pas en tête votre santé avant ses profits ?
Les semences hybrides ont créé ces farines dégueulasses et ce pain qui est un danger sanitaire, et que fait-on pour combattre celà ? on appelle au secours ces semenciers pour nous vendre une saloperie encore pire !

Oui, si chercher à se battre contre les asthmes et autres affections respiratoires ne servait à rien d'autre que d'enrichir les pharmaciens transnationnaux tant que nous n'aurons pas résolu notre problème de voiturite aigue ?

Le film laisse la place au trésorier de l'association kokopelli qui déborde d'énergie, qui se bat depuis des années contre les semenciers, contre la mise sous catalogue du vivant, contre ce qui constitue notre futur et celui de nos gosses et ceux des autres ! A l'heure où la France est encore hors la loi, où la majorité des gens rejettent les OGM alors qu'on essaie par tous les moyens de nous les imposer, quand l'interêt des ces multinationales de merde qui doivent certainement graisser la patte de ces politiciens verreux sans la moindre conscience ! Pensent-ils que leurs enfant parce qu'ils naitront avec la cuillière en argent dans la bouche n'auront pas à subir les effets de leurs renoncements et de leurs compromissions ? Pensent-ils que de mentir à leur peuple sans arrêt les laissera en paix ?
Kokopelli est hors la loi avec ses semences paysannes, est-ce normal ? qui va croire que l'argument du catalogue des semences qui vise à protéger la santé des gens est valable ?









Signez cette pétition, pour au moins que notre pays nous permette de penser à tête reposée à ces sujets qui sont notre avenir.
Pour que l'on cesse de reprocher à Bové d'avoir pris ses responsabilités en arrachant ces OGM de merde alors que la plupart des candidats s'asseoient depuis des décennies sur la vie des paysans et des citoyens et que certains devraient certainement depuis longtemps être en taule.


Et si, Lundi vous avez une heure à tuer, profitez du dernier jour du salon Vivre autrement au parce floral de Vincennes, où kokopelli sera présente.

11 septembre la vérité est à Guantanamo

Alors j'ai très honte !
Dire que j'ai imaginé que le 11 septembre n'était pas ce que le gouvernement US nous présentait ! Dire que j'ai osé mettre en doute leur bonne foi !

Voilà, on a la preuve qu'il manquait (je veux dire en dehors des preuves déjà irréfutables, comme la théorie du pancake au miel ou le passeport découvert dans les décombres), l'AVEU ! On note que ce salaud a même découpé en tranches Daniel Pearl, mais on a épargné ce passage aux âmes sensibles !

Et quel aveu ! Nul doute que le petit séjour dans l'établissement de remise en forme de Guantanamo a eu pour effet de remettre en place les idées confuses de de fou d'allah qu'est cet affreux salopard de Khalid Cheikh Mohammed !

Mais il y a beaucoup plus !

Je crois qu’il est également responsable de l’attentat contre Chirac à la 22 ... ou à la carabine à air comprimé, on sait plus trop, enfin un vrai calibre...

Il est responsable du CANCER, il est à l’origine de SIDA et il ne respecte pas le carème, et on le dit homosexuel.

De plus, il a provoqué le tsunami et il est à l’origine des trucages de photos de la lune, et on m’a dit qu’il avait tenté de pirater le site des www.tetesaclaques.tv !

Je ne parle pas de l’affaire clearstream, des crevettes à taiwan, des bébés dans le frigo ou du petit gregory.

Il a également fomenté l’arrivée au pouvoir d’Hitler et il est personnellement responsable du krach boursier de 79, sans parler de sa responsabilité dans la production massive d’armes de destruction massive en Irak.

mais quelle ordure !

Et Brave Patrie nous en dit encore... des vertes et des pas mûres si vous voulez mon avis !

On prendra moins l'avion

On veut (euh ... qui "on" ?) sauver Airbus, on veut sauver les emplois, on veut, pour certains se persuader que l'on combat le capitalisme en sauvant les emplois d'Airbus.



Bien sûr, on peut reprocher à ces cons d'écolos de vouloir nous faire revenir à l'âge de la bougie, et dire que le progrès scientifique résoudra tous nos problèmes (problèmes engendrés par ce même progrès, puisque c'en est un de pouvoir bouffer des tomates en hiver par exemple). Mais le constat est là pour celui qui veut bien ouvrir les yeux, nous ne pourrons pas léguer le mode de vie, qui nous semble si cher, à nos enfants, ils ne pourront pas faire le tour du monde plusieurs fois par an sur des compagnies low-cost. Mais le plus important c'est de voir que, comme le dit Yves Cochet et comme le dit également Hulot, les riches ne le pourront pas plus que les pauvres, et que vouloir s'orienter vers de l'agriculture raisonnée, de la décroissance économique et autres "restrictions" ne veut pas dire que l'on va faire le jeu des riches ou des puissants. C'est à mon avis le contraire.

L'exmple d'Airbus est frappant. Bien sûr, à très court terme, on peut penser que c'est un désastre social, mais avez vous entendu et lu les témoignages des ouvriers qui meurent des cancers professionnels ? Et pensez vous que nous ayions besoin de ces énormes avions bouffeurs de pétrole et destructeurs d'atmosphère ??? un aéroport en plus pourquoi pas ? L'objet n'est pas tant de se battre entre écolos et syndicalistes, entre écologie et lutte sociale, mais de replacer notre économie et notre vie dans son cadre, son environnement, cette planète qui elle, finira par dire STOP.

Pour ou contre l'immigration

Voilà bien le genre de sondage ultra débile qui masque la réalité et entretient le néant dans les discours politiques.

Pourrait-on ajouter à la question des proposition du genre :

  • "pensez vous que les gens qui produisent le chocolat dont vous vous gavez ont des conditions de vie décente ?"
  • "pensez vous que votre voiture roule avec un pétrole issus d'exploitation juste ?"
  • "pensez vous que notre pays a une quelconque responsabilité actuelle dans les conflits et la pauvreté qui sévissent dans les pays du sud d'où viennent les immigrés ?"
  • "seriez vous prêts à vous passer des ressources extraites d'afrique et autres pays du sud comme vous vous passeriez des Humains immigrés ?"
  • "pensez vous que les subventions à nos pauvres agriculteurs ont des répercussions au delà de nos frontières ?"

etc etc etc...

Mais il est plus facile de fermer les yeux.

politique de merde


Oui cette élection comme beaucoup avant elle est un cirque.

Oui comme d'habitude on promet aux gens qu'ils vont résoudre leurs petits problèmes, problèmes qui sont bien entendu causés par d'autres gens, les pauvres ou les immigrés, les chômeurs, et pourquoi pas aux importations que nos politiques mettent en place depuis plus de 30 ans avec l'OMC et le FMI.

La politique aujourd'hui ça va consister à aller au salon de l'argiculture, oui, cette agriculture qui est présentée dans tous les médias comme étant en réalité l'élevage, la viande quoi. Allons-y, mangeons plus de viande, allons voir ce gentil cochon que nous allons bouffer, apprenons à nos gosses à bouffer toujours plus de merde. Parce que la belle bête de concours, elle, n'ira pas dans leur assiette, si possible, marché commun aidant, on aura droit à un veau polonais... ou autre. Remettre en cause la viande et les effets dévastateurs de sa sur-production est un vrai projet politique, mais qui va expliquer aux électeurs que nos surplus subventionnés iront ruiner des paysans Africains ? Il est bien plus facile de pointer du doigt ces mêmes Africains quand ils viennent en France, bien plus facile de les traiter encore et toujours comme des immigrés, et finalement leur imputer les désordres sociaux qui nous accablent.

La politique c'est pour chaque candidat d'aller serrer la paluche à des employés d'airbus, même cette ahurie de Laguiller y va de son refrain débile, allons-y, continuons à promettre à nos enfants que chacun pourra prendre encore et toujours plus l'avion à moindre cout, continuons à produire ces merdes volantes, qui avec un peu de chance finiront comme le concorde, "notre fierté" ... Mais un projet politique consisterait à remettre en cause ce mode de développement, et non pas de façon idéologique, non pas comme les libéraux du PS et de l'UMP le répètent parce que certains veulent revenir à l'âge de la bougie, mais bien parce que nous DEVONS le faire.

Bien sûr, à l'image de ces émissions débiles de TF1, chacun aimerait résoudre ses petits problèmes, oui, ne vous inquiétez pas, je m'engage en tant que candidat à augmenter les budgets de la recherche contre le cancer... MAIS en aucun cas je ne remettrai en cause vos déplacements en voiture et vos diesels pas chers, vous pourrez continuer à vous flinguer les poumons (et on fera de temps en temps de la circulation alternée). Il ne faut surtout pas remettre en cause les bagnoles qui en moyenne font des trajets toujours plus ridicules, mais bien l'attitude des gens, opposer les piétons aux automobilistes et aux cyclistes. Mais prendre le mal à la source et faire prendre conscience aux gens que c'est bel et bien la voiture et les échanges du commerce mondialisé par camion qui les tuent, c'est un projet politique. NON, demain nous de pourrons pas bouffer tous les jours des tomates d'afrique du sud, et NON ce n'est pas un droit naturel que de bouffer de la viande à tous les repas.

L'écologie est le seul projet politique qui restera quand les gens auront fini de penser pour eux-mêmes mais pour leurs enfants et les générations à venir, quand les politiques auront cessé de contenter les marchés à la vue aussi courte que dévastatrice. Ce n'est pas une idéologie, c'est un besoin animal.