Rosie O'Donnell quitte l’émission The ViewOu encore sur le blog de Morandini, même texte.
Ah... bon, mais peut être que vous ne connaissez pas du tout Rosie à vrai dire. Et puis c'est une info sans importance, les USA jouissent d'une telle liberté de la presse qu'ils peuvent se passer d'une animatrice "avec des opinions bien arrêtées" (sic).
Ok, alors on fait un petit retour en arrière :
Contrairement à ce que l'on peut brièvement lire à son sujet, ses querelles avec Trump n'ont rien à voir avec le fait qu'elle quitte son émission. En réalité, elle se barre parce qu'on a voulu la faire taire au sujet du 11 Septembre, parce qu'elle a eu l'audace de l'ouvrir et de remettre en cause la version officielle, parce qu'elle pense que la fameuse "war on terror" est de la propagande au sens premier du terme, parce qu'elle pense que les médias US sont partiaux et muselés, parce qu'elle ne veut pas croire qu'un batiment s'effondre tout seul et qu'elle rejoint en ça de nombreuses personnalités qui sont brocadrés aux USA comme Charlie Sheen. Parce qu'elle pense que son gouvernement a trompé sa population en lui faisant croire que l'Irak avait non seulement des armes de destruction massives mais en plus un lien avec Al Quaida (et mon cul sur la commode).
Voici un article en anglais qui résume un peu sa situation.
Prominent 9/11 truth sources close to O'Donnell revealed to Alex Jones weeks ago that Rosie had refused to have her first amendment rights restricted and was likely to quit on her own terms after she was asked to stay on the show by ABC with the proviso that she tone down her stance on the issue of 9/11.
Et sur celui-ci, vous trouverez les explications sur sa motivation à rejoindre un mouvement déjà important pour que l'on réouvre les enquêtes sur le 11 Septembre. Et malheureusement, il semble qu'elle se soit un peu trompée quand elle déclarait :
O'Donnell heralds America as a great country because it still provides a forum to "speak and....think freely."Aujourd'hui, cette nouvelle peut sembler dérisoire, futile, et l'importance qu'on lui accorde le prouverait. Mais c'est bien de liberté d'expression qu'il s'agit, et que quelqu'un qui ose poser des questions se fasse virer et menacer de mort devrait nous inquiéter si nous ne le sommes pas déjà. Le pays qui est le modèle d'un de nos candidats montre la voie, il ne doit pas y avoir de liberté en dehors de celle définie par les classes dirigeantes.
Voilà, c'est du talk show, c'est rien, c'est pas important, mais en fait je pense que c'est capital.