Bonjour, Il y a aussi ça qui vaut son pesant de bretzels: http://www.lepost.fr/article/2007/11/08/1048510_sarkozy-et-la-meteo-bretonne.html? Je ne sais pas quel effet cela fait à ses électeurs de base, mais moi de ce type, j'en voudrais plus comme président. Mais je ne suis peut-être pas très objective ...
"si je viens pas, y'a aucune chance qu'on trouve des solutions" ...
Genre le gars est zorro quoi, il est partout et résoud tous les problèmes... peu importe si il ne comprend rien et fait des promesses aussi vides que ridicules, IL VIENT.
En plus, on dirait une caricature du "voyageur de commerce" d'antan dans un film de de Funès. Comme j'ai vu dans le blog de radical chic, via rezo, il y a les "gentils pêcheurs" et les "méchants cheminots", le t(h)on n'est pas le même. Quant à dire qu'il vient sur le terrain, oui, comme tu dis, c'est du vent, et en plus, il est la risée de l'Europe avec ça (cf Tchad). Bon, il fait ce qu'il veut, mais il me semble mal barré. Et la fronde ne viendra pas des socialos (toujours occupés à se marquer à la culotte) mais de ses propres rangs.
Les social-traitres doivent aussi "réfléchir" comment se con-fondre avec le milieu, histoire d'être toujours plus proches de leurs maîtres ... bien couchés aux pieds du kapitâl quoi ...
- Moi je viens hein ! les autres ils venaient pas, moi je viens, alors bon hein ho ! ça va hein, y z'avaient qu'à venir les autres, hein alors bon, moi, ben je viens.
... mais c'est qui les autres exactement, à part ses potes ?
D'après Jean-Pierre Winter, psychanalyste, de formation philosophique :
«on voit bien qu'il y a chez Sarkozy une profonde défiance à l'égard de la pensée. [...] Quand on le voit s'agiter, [...] on se demande à quel moment il pense à ce qu'il fait, à quel moment il élabore. Il y a une fuite dans l'acte.»
«Chez Sarkozy, le sentiment qu'il donne est de vouloir être toujours dans l'être. De vouloir toujours faire la preuve de son existence. Tout le temps.»
«dans une démocratie, un chef c'est d'abord quelqu'un qui a une grande capacité à déléguer. Et là il y a effectivement un problème. S'il était dans un système tyrannique, finalement il serait très à l'aise...»
Ecoute, j'adore cette petite vidéo, presque autant que le pétage de plombs sur CBS. En fait, je ne suis pas mécontente que Sarko soit président, en fait, vu la vitesse à laquelle il s'autodétruit. Royal et les socdem auraient fait des saloperies libérales aussi, mais dans une kouymollerie qui les rendraient invisibles. Là au moins c'est clair, et ça s'énerve. C'est quelle date déjà la révolution?
PS: c'est possible de podkaster Georges Marchais? C'est pour faire des morceaux techno pour l'ouverture du Maurice Thorezzz', la boîte de nuit de Stalineville-sur-mer.
10 comments:
Bonjour,
Il y a aussi ça qui vaut son pesant de bretzels:
http://www.lepost.fr/article/2007/11/08/1048510_sarkozy-et-la-meteo-bretonne.html?
Je ne sais pas quel effet cela fait à ses électeurs de base, mais moi de ce type, j'en voudrais plus comme président.
Mais je ne suis peut-être pas très objective ...
A plus tard
rien que le début est terrifiant :
"si je viens pas, y'a aucune chance qu'on trouve des solutions" ...
Genre le gars est zorro quoi, il est partout et résoud tous les problèmes... peu importe si il ne comprend rien et fait des promesses aussi vides que ridicules, IL VIENT.
En plus, on dirait une caricature du "voyageur de commerce" d'antan dans un film de de Funès.
Comme j'ai vu dans le blog de radical chic, via rezo, il y a les "gentils pêcheurs" et les "méchants cheminots", le t(h)on n'est pas le même.
Quant à dire qu'il vient sur le terrain, oui, comme tu dis, c'est du vent, et en plus, il est la risée de l'Europe avec ça (cf Tchad).
Bon, il fait ce qu'il veut, mais il me semble mal barré.
Et la fronde ne viendra pas des socialos (toujours occupés à se marquer à la culotte) mais de ses propres rangs.
Les social-traitres doivent aussi "réfléchir" comment se con-fondre avec le milieu, histoire d'être toujours plus proches de leurs maîtres ... bien couchés aux pieds du kapitâl quoi ...
- Moi je viens hein ! les autres ils venaient pas, moi je viens, alors bon hein ho ! ça va hein, y z'avaient qu'à venir les autres, hein alors bon, moi, ben je viens.
... mais c'est qui les autres exactement, à part ses potes ?
D'après Jean-Pierre Winter, psychanalyste, de formation philosophique :
«on voit bien qu'il y a chez Sarkozy une profonde défiance à l'égard de la pensée. [...] Quand on le voit s'agiter, [...] on se demande à quel moment il pense à ce qu'il fait, à quel moment il élabore. Il y a une fuite dans l'acte.»
«Chez Sarkozy, le sentiment qu'il donne est de vouloir être toujours dans l'être. De vouloir toujours faire la preuve de son existence. Tout le temps.»
«dans une démocratie, un chef c'est d'abord quelqu'un qui a une grande capacité à déléguer. Et là il y a effectivement un problème. S'il était dans un système tyrannique, finalement il serait très à l'aise...»
(http://www.liberation.fr/actualite/politiques/289601.FR.php)
Le président de la République : Qu'esstata ! Nico l'embrouille !
Ecoute, j'adore cette petite vidéo, presque autant que le pétage de plombs sur CBS. En fait, je ne suis pas mécontente que Sarko soit président, en fait, vu la vitesse à laquelle il s'autodétruit. Royal et les socdem auraient fait des saloperies libérales aussi, mais dans une kouymollerie qui les rendraient invisibles. Là au moins c'est clair, et ça s'énerve.
C'est quelle date déjà la révolution?
Merci pour cette superbe citation cher VLG !
Jenny, la révolution, c'est ... euh pas gagné je crois.
Egzakt mais ne déprime pas les masses. Et faut que j'arrête de dire "en fait" tout le temps. C'est le colonel Smith-G. qui m'a refilé son tic.
PS: c'est possible de podkaster Georges Marchais? C'est pour faire des morceaux techno pour l'ouverture du Maurice Thorezzz', la boîte de nuit de Stalineville-sur-mer.
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